La mémoire qui nous compose

La mémoire du corps et la mémoire de l'eau : quand notre organisme enregistre notre histoire

Notre corps est bien plus qu’un simple ensemble de muscles et d’organes : il est un réceptacle vivant de nos expériences, de nos émotions et de nos blessures passées. Cette faculté qu’a le corps de retenir et de manifester des souvenirs sous forme de tensions, de douleurs ou de réactions inconscientes est connue sous le nom de mémoire du corps. Plus surprenant encore, cette mémoire pourrait trouver une explication dans la mémoire de l’eau, un concept fascinant qui suggère que l’eau possède la capacité de conserver une information énergétique.

La mémoire du corps : un inconscient inscrit dans nos cellules

Chaque émotion forte, chaque choc physique ou psychologique laisse une empreinte dans le corps. Par exemple, une personne qui a vécu un traumatisme d’abandon dans l’enfance peut développer des tensions chroniques au niveau du plexus solaire ou des douleurs dorsales. De même, un stress répété peut se cristalliser sous forme de troubles digestifs ou de maux de tête récurrents.

Les neurosciences et la psychosomatique ont mis en évidence que notre système nerveux et notre corps entier fonctionnent comme un disque dur, enregistrant des expériences non seulement sur le plan psychique mais aussi sur le plan cellulaire. C’est ici que la notion de mémoire cellulaire entre en jeu : chaque cellule contient des informations issues de notre histoire personnelle et familiale, ce qui explique pourquoi certaines douleurs ou schémas comportementaux semblent se transmettre de génération en génération.

La mémoire de l’eau : une science encore débattue

La mémoire de l’eau est une hypothèse selon laquelle l’eau aurait la capacité de conserver une trace des substances avec lesquelles elle a été en contact, même après une dilution extrême. Cette théorie a été popularisée par les travaux du Dr Jacques Benveniste dans les années 1980 et plus tard par Masaru Emoto, qui a photographié des cristaux d’eau réagissant à différentes fréquences vibratoires, comme les émotions humaines ou la musique.

Bien que controversée dans le monde scientifique, cette idée trouve un écho intéressant dans l’approche holistique du corps humain. Étant composés d’environ 60% d’eau, nos tissus corporels pourraient ainsi agir comme un énorme réservoir d’informations émotionnelles et vibratoires.

Lien entre la mémoire du corps et la mémoire de l’eau

Si l’eau a effectivement la capacité de stocker et de transmettre des informations, il devient logique de penser que les fluides corporels jouent un rôle essentiel dans la conservation des souvenirs et des émotions. Nos cellules, baignées dans un environnement aqueux, pourraient donc réagir à certaines fréquences vibratoires, ce qui expliquerait pourquoi des techniques comme la kinésiologie, l’ostéopathie, ou encore les soins énergétiques peuvent libérer des blocages ancrés dans le corps.

Les pratiques basées sur le mouvement, la respiration et l’intention permettent de modifier l’information stockée au niveau cellulaire, un peu comme on réinitialiserait un disque dur. En ce sens, travailler sur la libération des tensions corporelles, c’est aussi agir sur la qualité vibratoire de l’eau présente dans notre organisme, et donc sur notre état émotionnel et énergétique.

Comment libérer la mémoire du corps ?

Voici quelques approches qui permettent de débloquer ces souvenirs enfouis et de rééquilibrer notre énergie :

✔ La kinésiologie : par le test musculaire, elle permet d’identifier les blocages et de relancer l’énergie vitale. ✔ Les soins énergétiques (Reiki, magnétisme, bioénergie) : pour harmoniser l’information vibratoire du corps. ✔ L’ostéopathie fluidique et crânienne : agit sur la circulation des fluides corporels et libère les tensions profondes. ✔ La respiration et la méditation : influencent l’eau du corps en modifiant la fréquence vibratoire. ✔ L’intention et les affirmations positives : comme le suggèrent les expériences de Masaru Emoto, l’eau réagirait aux mots et aux émotions, ce qui renforce l’idée que notre corps peut être influencé par nos pensées.

Conclusion

La mémoire du corps et la mémoire de l’eau ouvrent une perspective fascinante sur la manière dont notre organisme conserve et transmet des informations. Si cette approche reste encore débattue dans le monde scientifique, elle trouve de nombreux échos dans les pratiques alternatives et holistiques. Comprendre que notre corps est un réceptacle d’informations vibratoires nous invite à en prendre soin autrement : en libérant nos tensions, en travaillant sur nos émotions et en nourrissant des pensées positives qui influencent directement notre état d'être.

Et si, en changeant notre rapport à notre corps et à l’eau qu’il contient, nous pouvions transformer notre vie ?